Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 9 ans
J’aime les villes la nuit. Le haut d’une grande artère puis un plongeon dans un festival de lumière et de couleur.
Tout est prêt. Ce mois touche à sa fin. Que de chemin parcouru, me voilà sur le siège passager de cette voiture, Céline est à côté de moi, le monde pourrais arrêter de tourner je serais au paradis. Tout est parfait, cette soirée est parfaite. Des jours d’un jeu étrange pour arriver à ce soir.
Je dois avouer que cela ne s’est pas fait sans douleur, sans humiliation, sans peur, mais une aventure sans cela n’est pas une aventure. La voiture avance, les lumières défilent autour de moi.je redécouvre à chaque fois avec un immense plaisir les décors que nous offre une ville la nuit.
Élise… Cela fait combien de jour que je ne l’ai plus vu. Je n’ai jamais aimé une femme comme elle. Mais aujourd’hui, après ce mois, après tant de changement, est ce que je l’aime encore ?
La réponse est là, au bout de ce trajet en voiture. Peut-être qu’elle aussi ne m’aimera plus ? Cela fait si longtemps…
Une éternité. Imaginez 30 jours sans voir la personne que vous aimez le plus au monde. Dis comme ça, cela doit vous paraître bien long. Pour ma part, cela a été long, mais comme j’ai été beaucoup occupé, le temps est passé plus vite.
Je n’ai jamais imaginé une seconde, que je sois capable de faire tout ça. Sans même avoir la certitude que cela aurait une fin positive.
Tout ça a commencé il y a bien longtemps, je dirais même il y a une autre vie…
Élise….
Acte 1
Une première fois.
Les pucelages, c’est comme les porte-monnaie. Il s’en perd tous les jours. Personne ne les retrouve.
Adrien Hebrard
Je m’appelle Yann, j’ai 27 ans et je suis heureux en ménage. Il y a maintenant 10 ans j’ai rencontré Élise. A l’époque nous étions au lycée et elle était ma jolie voisine en math. J’aimais plus les filles que les maths à l’époque mais à 17 ans qui préfère les maths ? Bon si vous préférez les maths aux plaisirs de la vie… Arrêtez votre lecture ici, le reste ne vous intéressera pas…
J’ai eu un coup de foudre pour elle, elle était l’unique et je ne pouvais aimer qu’elle. C’était une évidence.
Pour elle, je pense que le chemin qui l’a mené à mon cœur a été plus long et plus complexe. Je ne suis pas le beau gosse sportif et bronzé que l’on peut imaginer. Non loin de là. Mais je sais écouter, rassurer, et comprendre les filles. Alors le chemin vers le sexe est plus long mais on finit quand même par en voir le bout.
Avec Élise, ça a mis 3 mois. Je ne parle pas de sexe, je parle de flirt. Pour le sexe j’ai attendu qu’elle soit prête. C’était sa première fois et pour moi aussi. Bien que l’attente fût longue, elle fut aussi salvatrice. La première fois est quelque chose de très intimidant et même si on ne réfléchis pas beaucoup, on est assaillit par une tonne d’émotions contraire qui se bouscule en nous. Tout ça pour quoi ? 10 min montre en main avec 3 minutes de pénétration… Désolé pour ce qui en sont resté à ce stade, mais pour connaître l’extase ou même faire connaître l’extase avec un tel chrono… C’est impossible ! Même si on vous à dis le contraire croyez-moi, on vous a menti.
Ma première fois avec Élise est d’une banalité affligeante. Pourtant je n’ai rien oublié… Enfin je pense…
C’était chez moi, nous étions seul. Elle portait un jean serré qui laissé voir ses superbes fesses. Une cambrure de rêve pour mettre en valeur un fessier bien rebondi. Son petit haut était tout aussi moulant que son jean. A cette époque, elle n’assumait pas encore de ne pas porter de soutient gorges. Pourtant ses 2 petits seins tenaient droit à la perfection. 2 magnifiques poires au service d’un corps de rêve.
Pour ma part, j’étais tendu. A tous les sens du terme et sur toutes les parties de mon corps. Finalement ce n’est pas la première fois que l’on explore le mieux le corps de sa partenaire, en même temps en 10 minutes… Elle s’est déshabillé et la mon cœur à fais un bon sur lui-même. Je pense que je n’ai jamais rien vu d’aussi beau de ma vie. Une chaleur tendre a envahie mon corps, mon cœur a accéléré jusqu’à rompre. Quand à mon sexe… Je crois qu’il aurait pu connaître l’orgasme rien qu’en regardant son corps.
Nous nous sommes caressé. Sa peau était fraiche et douce, ses caresses timides et maladroites. Sa bouche savoureuse et tendre. Tout en elle m’excitait. Rien que de la toucher de la sentir à côté de moi, me procurait le meilleur des plaisirs. Ce jour-là, nous avons fait simples. Une masturbation réciproque puis une pénétration rapide. Ça n’a pas duré des heures, mais finalement son sourire m’a donné envie de recommencer à l’infini.
Pour elle, j’ignore encore ce qu’y l’a poussé à recommencer l’expérience, peut être que pour une femme, des efforts même maladroit valent mieux qu’un exploit sexuel. Ou plus simplement m’aimait-elle…
Les années ont passé et niveau sexe, nous nous sommes rudement améliorés. J’ai appris à contrôler mon plaisir et elle a appris à connaître son plaisir. Nous ne nous sommes jamais mariés, nous n’avons jamais eu d’e n f a n t . Nous avions envie de connaître la vie et ses plaisirs. Nous avons bien réussie.
Une si bonne bêtise.
Le meilleur moyen de se délivrer de la tentation est d’y céder. (Oscar Wilde)
Mais quand tout va bien il faut bien qu’un jour on trébuche.
Dans ma course au côté d’Élise, ma racine qui m’a fait trébucher s’appelle Sonia.
Sonia c’est… Comment vous dire ? C’est le genre de femme qui décide quand est ou elle a envie de faire l’amour mais surtout avec qui. Et quand elle a choisi la personne avec qui elle doit faire l’amour. Rien ni personne ne peut l’empêcher ou lui résister ne serais ce qu’une journée. Pour Sonia, les mecs sont des Kleenex. On en prend un, on l’utilise, et on le jette.
Bien sur le côté macho et mâle qui sommeille en nous ne l’avouera jamais, mais nous les mecs on trouve sa super attirant et excitant.
J’ai rencontré Sonia à une conférence. J’étais assis à côté d’elle et pour notre première rencontre j’ai renversé mon café sur elle en m’assaillant. Ce qui aurait pu être un tue l’amour pour pas mal de femme a été un déclencheur chez Sonia.
Cette femme à une méthode bien à elle de vous faire comprendre qu’elle a envie de vous.
Elle a discrètement en pleine conférence retiré son string sous mes yeux ébahie… Puis l’a glissé dans ma mallette avec un petit papier. Puis plus rien. Je crois que mon sexe n’avais jamais était aussi dur. Cette femme me faisait du rentre dedans ouvertement.
Et Élise dans cette histoire ? Bonne question.
Je dois honteusement avouer que je n’ai pas pensé à elle de la soirée. J’aime Élise, plus que tout, et si il en fallait une preuve la culpabilité et le remord ressenti après cette nuit-là en été une flagrante, mais sur le moment dans le feu de l’action Élise a tout bonnement disparu.
A la fin de la conférence, j’ai fouillé ma mallette. Juste un petit mot.
« Sonia : Chambre 208 »
Et en cadeau son string.
Comme h y p n o t i s é par le sous vêtement j’ai pris machinalement l’ascenseur. J’aurais pu appuyer sur le 5 et rentré dans ma chambre avec ma plus belle conquête un string en satin blanc. J’aurais même dû le faire…
J’ai appuyé sur le 2. Deuxième étage et bientôt la porte numéro 208. J’étais comme paralysé par la peur. Sur le seuil de la chambre je restais immobile. Je me sentais comme vide fasse à une situation qui m’échappai de plus en plus. Et la porte s’est ouverte.
Devant moi, une jeune femme en tenu de soirée, ravissante. Sonia avait de longues jambes sans fin et un cul magnifique. Le style de cul qu’on ne voit qu’une seule fois dans sa vie. Elle n’a rien dit. Elle a juste retiré sa robe qui est tombé à ses pieds. Je n’en ai pas dit plus. Son corps étais nu, elle ne portait pas de soutient gorge et n’avais plus de string. Machinalement je lui ai tendu son bien. Elle m’a adressé un sourire.
« Vous pouvez le garder je n’en aurais pas besoin dans l’immédiat »
Un roman de science-fiction. Je n’y croyais pas tellement la situation étais irréelle. Elle m’a attiré à l’intérieur, m’a fait asseoir sur un fauteuil, a posé un doigt sur ma bouche puis m’a demandé d’attendre la.
« Tu sauras quand venir j’en suis sûr. »
Sa voix suave et chaude, comment pourrais-je l’oublier…
Elle est grimpée sur le lit à saisie les menottes qui pendait à une corde attaché au plafond. Ce liens lui autorisait tout le mouvement possible du moment qu’elle restait sur le lit. Elle a fixé un bracelet à son poignée puis a bandé ses yeux avant d’attacher l’autre bracelet. Elle avait les yeux bandés et les mains attachées dans le dos. Le tout lié par une corde fixée à la lumière du plafond. Comment une femme pouvait elle se livrer à un strict inconnu ?
Je me suis levé et je l’ai observé j’aurais pu partir. La laissé la… et continué ma vie avec Élise. Mais non. J’ai caressé son corps chaque parcelle, chaque recoin. J’ai senti sa peau frissonné sous mes doigts. Son corps se raidir à l’approche des zones érogène. J’avais envie d’elle. Il n’y avait pas d’amour. Je retrouvé en moi l’ado de 17 ans que j’étais. Seul le sexe l’intéressait le reste n’avait pas grand intérêt.
J’ai retiré mes doigts et d’une main ferme j’ai donné une claque sur son cul. Je n’ai fait ce genre de chose à Élise qu’après 2 ans de relation sexuelle mais avec Sonia je pouvais le faire de suite sans culpabilité.
Elle poussa un cri, j’ai donné une autre claque sur l’autre fesse dessinant mes doigts sur son fessier blanc. Un autre cri qui résonna en moi comme un « Encore ». J’obéissais à une loi primaire. Je ne fonctionnais qu’à l’instinct. Mon sexe et mes hormones avaient pris le pouvoir.
J’ai trituré ses seins, j’en ai pincé les tétons jusqu’à ce qu’elle se torde légèrement de douleur. Elle s’est penchée en avant, je lui ai alors présenté mon sexe et sans une once d’hésitation elle l’a sucé. Après deux ou trois allez retour sur ma verge. Elle a léché mes couilles puis a repris son vas et viens. Sa bouche est chaude comme un four ou est-ce mon sexe qui bouillonne de l’intérieur ? J’ai de nouveau déposé une claque sur ses fesses puis je les ai frottés comme pour enlever la douleur. Mon doigt a cherché instinctivement son anus. Je n’ai jamais osé demander à Élise ce genre de chose. Avec Sonia, pas besoin de permission.
Elle s’est alors redressée, j’ai posé mon autre main sur sa tête et je l’ai ramené à mon sexe. Sans se faire prier elle a englobé mon sexe et a repris son vas et viens. Mon doigt n’avais pas fini sa course. Il pénétra son cul. Ce que j’ai d’abord pris pour une dérobade à fini en un lent vas et viens. Alors que mon sexe tendu sors de sa bouche pour retrouver la fraîcheur extérieure, mon doigt lui s’enfonce dans les abîmes de son corps pour y trouvé une chaleur et une douceur insoupçonné.
J’ai retiré mon sexe de sa bouche et sans autre forme de préliminaire j’ai pénétré son cul. Dieu que la sodomie est bonne. Elle poussa un cri et il me fallut toute ma concentration pour ne pas lui jouir dessus. Je suis au paradis. Le vas et viens commence et à chaque pénétration un cri. Ce qui au début été de la douleur ce transforma bien vite en plaisir. Mon sexe ramoné son anus. Je ne cherché absolument pas son plaisir. En égoïste de 17 ans, je ne cherché que le miens.
Avec Élise, j’ai toujours fais passer son plaisir avant le miens, mais avec Sonia je pouvais me permettre de me concentrer sur moi et non sur elle.
J’ai retiré mon sexe, je me suis agenouillé derrière elle et ma langue a fouillé son sexe. Un cri V i o l ent est sorti d’elle au moment du contact. Je pense qu’elle a lutté pour ne pas jouir, ou alors était-ce mon interprétation des choses ? Je ne sais pas.
J’ai léché longuement son clitoris. Son sexe est maintenant trempé. Ma langue fouille son intimité et les cris se font plus fort, plus V i o l ent, plus rapproché. Elle allait avoir un orgasme. J’ai intensifié mon travail et l’orgasme est venu. Son corps s’est raidi et a fait quelques soubresauts, les cris sont devenu inaudible. Puis dans une ultime cambrure de rein, elle a tout relâché laissant tomber son corps sur le lit.
J’ai profité de se relâchement pour inséré mon sexe dans son cul. Les mains se sont agitées à l’intérieur des menottes et son corps c’est de nouveau raidi. Elle ne s’y attendait pas. En général je laisse à Élise le temps de reprendre ses esprits, pourtant pénétré son anus après son orgasme a été torride. Des claques ont frappé chacune de ses fesses à plusieurs reprises. Mon sexe est entré puis sorti un nombre incalculable de fois. Je me donnais l’impression d’être une bête.
« Arrête s’il te plait ! Stop ! »
Elle a dit cela comme une supplique me ramenant ainsi à la raison. Je lui ai débandé les yeux puis je me suis couché sur le dos. Elle a repris son souffle, enjambé mon corps et presque naturellement à enfoncer mon sexe dans son vagin. Paralysé. Je n’ai pu exécuter le moindre geste. Finalement je constatais avec splendeur la f o r c e et la domination féminine sur l’homme.
En un instant, alors qu’elle est toujours menottée, elle vient sans aucune V i o l ence de prendre le pouvoir. Là où mes coups et ma sodomie m’avaient donné l’impression de mener le jeu. En fait, c’est elle et elle seule qui mène la danse depuis de début.
Que c’est bon ! Rien n’est meilleur. Laissé une femme abusé de vous pour qu’elle prenne son plaisir. Je l’observais immobile. Elle bougeait avec lenteur et f o r c e . Aucun de ses mouvements n’a été trop brusque ou maladroit. Elle a pris son plaisir simplement sans fioriture. Je crois que c’est à ce moment-là que ma nouvelle naissance à pris un sens véritable. Bien sûr à l’époque j’en ignorais tout mais avec le recul…
Son orgasme fut V i o l ent et intense son corps s’est contracté tellement que j’ai cru qu’elle allait couper ma verge en deux. Je suis redevenu un ado, celui qui a pénétré Élise pour la première fois. L’espace d’un instant, tout a été clair. Je venais de comprendre pourquoi pendant des années j’avais fait passer le plaisir d’Élise avant le miens. Pour ce moment magique qui ne dure qu’un instant. Grande peine à l’homme qui n’a jamais connu ce moment. Je voudrais en vivre mille.
Son corps est retombé comme soudainement soumis à la gravité et instinctivement alors que je ne pouvais plus bouger mes mains l’on attrapé et je l’ai serré contre moi. Se simple geste a provoqué en moi une fusion. L’alchimie de la nature, mon sexe a craché sa liqueur en elle sans que je ne contrôle rien.
« Merci Élise… »
C’est sortis tout seul et quand j’ai ouvert les yeux Sonia me regardé avec beaucoup de tendresse.
« Elle a bien de la chance cette Élise. Puis je récupérer la clé des menottes s’il te plait ? »
« Pardon ? »
Elle a agité ses mains.
« Je ne les ai pas. »
« Bien sûr que si, dans ta sacoche. Je l’y ai glissé en même temps que le string. »
Je me suis redressé, j’ai fouillé ma sacoche et j’y ai trouvé la clé. Elle a ouvert ses menottes et m’a de nouveau regardé avec ce regard tendre.
« Vas retrouver Élise et Merci pour ce bon moment. »
Je me suis rhabillé mais au moment de sortir une question m’est venue.
« Si j’avais pris peur, si j’étais partis avec ma sacoche ? Ou étais le double de la clé des menottes ? »
« Il n’y en a pas. Et si tu étais parti, j’aurais été bien embêté. Mais des fois, nous avons besoin de ne rien contrôler, de tout laisser à l’autre. Cela décuple le plaisir. »
Je suis parti sur cette belle parole qui allait me servir dans l’avenir. Au début j’ai pensé que c’était une immense confiance en elle qui l’avait poussé à agir ainsi. Aujourd’hui je sais que non. C’est juste l’envie inconsciente qu’un jour un homme lui résiste et la laisse là avec son corps nu et ses menottes attaché au plafond et je fais même l’impossible pari qu’elle aurait adoré qu’en partant je laisse la porte grande ouverte. De manière à la laissé seule face à son destin, face à la folie d’un autre inconnu qu’elle n’aurait pas choisi, qui n’aurait peut-être pas obéis à son stop. Et qui, même une fois satisfait, n’aurait peut-être rien fait pour la délivrer. La laissant de nouveau fasse à l’inconnu et surtout face à son plaisir. Jusqu’à quand ?
Je lui souhaite de trouver ce plaisir. Tout comme moi j’allais le trouvé rapidement.
– Fin –
Par HommeEtFemme
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